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Make them believe you are strong *

16 octobre 2007

Je change.

Besoin de changement, ça devrait pas vous étonner de ma part.

http://here-it-lies.skyblog.com

et ça reste secret.

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14 octobre 2007

A la recherche du temps perdu.

For the rain to gather. [17]

"Mais on n'a pas fini, courir après ce salaud et mourir d'amour sous la pluie."
Je me refait tout Elvis et Bénabar.

ça&ça&ça&ça le dimanche de beau temps. (et bien d'autres, en fait.)

A faire dans la semaine: acheter Fossette de Dominique A, appeller Guta et AM Millot, répondre à Juliane (merci), acheter tickets de métro, prier pour Cantat, déjeuner chez Hélo. Défi de l'année: lire les 7 tomes de Proust. Tome I: du côté de chez Swann, à finir avant la fin du mois (amen). Programme de la journée: regarder Babel, lire, ressortir les guides de Londres, ne PAS bosser. Menu du dîner: coquillettes au beurre-fromage rapé. Ne pas oublier: abonnement Vélib' (marre des courbatures), regarder la date d'ouverture du nouveau Comptoir des Cotonniers rue Tronchet, trouver une p*tain de robe de demoiselle d'honneur.

Madrid_185

13 octobre 2007

What I need is lost...

Photo_079Mon ombre glisse sur le mur. Elle me tourne autour, elle me suit partout. Je prend les interminables couloirs de Saint Lazare. Ca s'est passé sans que je m'en rende compte. Je descend à Abbesses. Comptine d'un autre été dans les oreilles. A fond. La nuit est très noire. Quelques clochards boivent encore à leur santé, adossés aux grillages du Sacré Coeur. Un couple s'embrasse sur un banc. Il est dix heures et j'ai froid. Montmartre brille plus que jamais. Un soleil dans la pénombre. Ma tête tourne, et je ne sais pas ce qui me pousse à repartir. J'arrive à Belleville. Ménilmontant. Le vingtième. Je longe les murs sales. Les pieds claquent contre le trottoir. Comptine me hurle aux oreilles et me transperce le ventre. Comme des âmes accrochées à mes pieds, comme des illusions perdues, les notes me suivent. Sans relâche. Il est onze heures passées. Je trébuche sur des obstacles inexistants. Il fait de plus en plus froid et noir, je m'enfonce dans mon écharpe. Je marche. Lentement, mais je marche. Un mec à la bite huileuse essaye de me bloquer contre une porte. Je m'esquive. Il pleut à petites gouttes qui viennent se poser sur mon visage comme des milliers de décharges électriques. Je déambule dans la pénombre des impasses. L'air est saturé d'humidité automnale. J'avance sans but. Ou dans le but de ne pas en avoir. Quelques lumières sont encore allumées, mais elles disparaissent les unes après les autres. Je suis seule sur l'avenue Gambetta. Le dernier bus de la soirée passe. Je vois mon reflet dans ses vitres. J'ai l'air de rien. Il est minuit moins le quart quand j'atteint le métro Gambetta. Je change à République. Il n'y a personne. Ou presque. Comptine en boucle. Je me pose dans la ligne 8. Le sommeil retombe d'un coup. Sans prévenir. Je ferme les yeux et la musique me berce. Une voix enregistrée si courante me réveille. Terminus - Balard. Je suis à l'autre bout de Paris et il est plus de minuit. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit. La solitude est belle, quoi qu'on en dise. Je reprend le métro en sens inverse et combat contre le sommeil. Concorde. Il pleut des cordes. La suite reste incroyablement floue.

"Et dire que nous n'aurons même pas passé l'hiver"
Dominique A.

18.

12 octobre 2007

dive into the moon. i'll do.

Bretagne_161

Ce soir je vais voir l'expo que j'attends depuis des mois. Celle de Salomé.                          19

Il ne l'a pas raccompagnée. Je n'ai pas réussi à savoir pourquoi. C'est son choix, finalement. Quelle galère. Ca me rappelle ce livre. Je ne t'aime toujours pas, Paulus. J'ai relu Sous la pluie d'Olivier Adam en dix minutes. Les Têtes Raides. Edith Piaf. Air. Antoine et Chloé. La pluie. La forêt. J'ai mal aux jambes, je me suis fait tout Malesherbes sur le même Vélib qu'Aurel, et le pire c'est que j'étais derrière. L'horreur, il allait vachement vite. Mais j'aimais cette peur qui me tenait au ventre, j'aurais bien mit Sing for Absolution en fond. Ou Apocalypse Please. Mes deux préférées de Muse en ce moment, avec Ruled By Secrecy. Et l'autre qui tombe amoureuse de son meilleur ami. J'enrage. La suerte viene la suerte se va. Demain, pizza et coca devant télé. C'est clair qu'on va regresser. Et puis mon Ange (à qui je n'ai même pas eu l'occasion de parler aujourd'hui) reste pour une nuit (noire). Je vais essayer de savoir pourquoi il n'y est pas allé. Et pourquoi elle riait comme une folle en me voyant. L'autre me cache bien des choses, aussi. Je passe du coq à l'âne. Mais merde, c'est beau la tristesse.

La Valse Des Vieux Os                     Yeux rougis par la fatigue, je te pardonne.
Je t'aime. Moi non plus.

La baie de Douarnenez. Vieux port abandonné. Très forte envie de Bretagne.

11 octobre 2007

how long must you wait for him?

What if there was no time ?

            S'engouffrer dans l'angoisse de l'éternel retour. Sans scrupules.
C o m m e l e s d o i g t s d e l a m a i n .                                                                  Regarder droit devant soi. Sans relâche.
Ecorcher un mot. Ou s'écorcher tout court.

20.                                                                                                                                                        A vous de voir.

Tuileries_041







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10 octobre 2007

Now my world is upside down...

Rire et sourire.
Vivre ou survivre?
                                   Tu le désires? Tue le désir.

                Hey there Delilah.

L'insoutenable légerté de l'être.            Vingt et un jours.

Mer[ci]*

let them burn]                                                         la métempsychose.

Bon anniversaire, mes pétales de rose.

C'est l'incompréhensible complexité du va et viens continuel d'un Ange.

On (re)déconne, la Non. Mais finalement... Mardi* avec impatience.

photo0057

9 octobre 2007

Le vent nous portera si loin...

C'était si bon. Cette remontée de souvenirs. Ce banc. Ce même rayon de soleil sur ce même coin angélique. Cette même chanson dans la tête. C'était tout pareil, le même ciel bleu les mêmes fontaines le même gravier sur le sol beige. C'était Montmartre blanc au bout de la rue. C'étaient les souvenirs, c'étaient les photos qui défilaient en boucle devant les yeux. C'était le rappel des mêmes sandwich de cette même chanson de cette place de ce parc de ces arbres mon Ange. C'était ce même sourire sur ton visage mon Ange, c'étaient les feuilles qui volaient c'était les photos le soleil l'automne les chaises les rires les sourires. C'était les Tuileries encore et toujours dans ma tête dans mon coeur sur ton sourire mon Ange je verrai toujours cet endroit si magique imprimé pour toujours sur ton visage mon Ange pour toujours pour toujours.

Si loin mon Ange si loin.
Don't care what people say. Just dream louder everyday.

Tuileries_063

7 octobre 2007

Who knows. Not me.

N'a plus aucun sens. Sonne faux. Se casse la gueule.
Anyway.
I can try anything. It's the same circle leading to nowhere. Everything is gone. And i'm tired now.
Nothing but silence around me.

Don't be scared.

BLOG3


Qu'ils te traitent de ce qu'ils veulent; tu restera ma tractopelle. Make them believe you are strong. Accroche toi, Juliane.

7 octobre 2007

Where no endings end.

On se barre. On va à Londres. On s'envole.
Keren Ann & AaRON en fond. J'ai aimé ce soir avec toi . Merci infiniment.

One_Day_in_London_by_nasigoreng

5 octobre 2007

No alarms & No surprises

i'll take the quiet life, a handshake of carbon monoxide.

Mon ange, tu m'échappes réellement. C'est étrange, comme sensation, de te voir courir partout dans H&M, enfiler un pull, mettre une écharpe et un serre tête, un sous tif dans le sac et te barrer en souriant; de te voir gratter des dizaines de clopes aux mecs et de les fumer les unes après les autres; de te voir ne pas me voir justement. Pourtant je fume quelque fois aussi; mais ce n'est pas pareil. Is it why in your tears i can smell the taste of fear, it's all around. J'aime pas quand on se parle mal comme ça. Tu t'en rend compte, ça fait mal, en fait, comme si le mur s'écroulait. Plus de poussière d'anges et d'étoiles. Angel Dust en boucle. Tu me manques, mon ange, mon chou, ma didi, ma fée, la non, la mouette, ma belette, la larve, le camion, mon ange, mon ange, mon ange, je t'aime trop fort et on s'en fout que ça dérange.
J'ai enfin les photos de samedi. Elles sont belles mes photos. Demain, ma reine. Il ne m'aime plus, je ne sais pas quoi penser, je panique intérieurement. J'ai peur de ce qui va se passer. Relu notre texte, celui de la Rochelle. C'est beau. C'est nous. Je nous aime, genre.

Photo_10

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